🌿 Mes racines

Je suis issue d’une lignée d’explorateurs et de bâtisseurs :
Le Père Pierre-Jean De Smet, mon ancêtre, fut l’un des rares missionnaires de son temps à défendre les peuples amérindiens, reconnu par eux comme « le Blanc qui n’avait pas la langue fourchue ».
Mon grand-père paternel, Paul de Smet d’Olbecke, fut un aventurier qui mena les siens à la rencontre des terres sauvages de Patagonie, au lendemain de la Grande Guerre.

 

🌎 Mon chemin

À mon tour, la vie m’a menée loin de mes racines : de la Belgique au Chili, où j’ai construit une famille et une carrière.
Puis la terre a tremblé, et mon monde aussi : un séisme, une séparation, des pertes profondes.

J’ai connu l’effondrement,… puis la reconstruction et la renaissance.
De cette traversée est née une passion : explorer le monde de l’invisible et accompagner ceux qui, comme moi, cherchent à retrouver un sens, une présence et une connexion à eux-mêmes.

 

✨ Ce que je fais aujourd’hui

Je m’appelle Christine et je suis facilitatrice de l’énergie tachyonique.

Mon rôle est de mettre cette énergie subtile à votre disposition pour que vous puissiez y accéder et en faire l’expérience par vous-même.

Je ne soigne pas, je n’impose rien : j’ouvre un espace. C’est l’énergie qui agit, selon votre rythme et votre chemin.

À travers les soins individuels ou collectifs, les objets tachyoniques et les voyages en Amérique Latine à la rencontre de chamanes, j’accompagne celles et ceux qui cherchent à redonner du sens à leur vie, à se reconnecter à eux-mêmes et à marcher leur propre chemin, ancré, aligné et inspiré.

Car j’ai appris que l’important n’est pas la destination…
mais le chemin qui nous y mène.

 

🌸 Christine… ou Mucha

Je m’appelle Christine – mais dans le milieu des soins et des voyages énergétiques, beaucoup me connaissent sous le nom de Mucha.
Ce surnom est né un jour alors que je racontais à mon compagnon combien je m’étais sentie comme Pocahontas en revenant en Belgique après vingt années passées au Chili, il a souri et m’a dit :
— Alors je vais t’appeler Poca.

J’ai ri et répondu :
— Non, Poca veut dire « peu »… et je ne suis certainement pas « peu ».

Alors il m’a demandé :
— Et « beaucoup », comment dit-on en espagnol ?

— Mucha.

Et c’est ainsi qu’est né ce nom qui m’accompagne depuis.

Pour moi, il ne s’agit pas de me croire « plus ». Bien au contraire.
Il s’agit d’un message universel : "Nous ne sommes jamais “peu”. Nous sommes tous “beaucoup” – chacun porteur d’une richesse intérieure immense qui ne demande qu’à s’exprimer."